Depuis plus de 30 ans, je veux favoriser l’interaction entre les individus et donner du sens à nos vies. Mon leitmotiv : « La réflexion au service de l’action ». Ce mantra est librement inspiré de la chanson “the bridge” du chanteur Sting que j’aime tellement et qui fait sens dans mon quotidien pour cultiver se « sens de l’autre » si précieux en moi. Parler de moi est surement un peu narcissique, mais c’est aussi l’occasion de remercier toutes les belles personnes qui m’ont accompagné, aidé, formé, dans cette construction de l’être que je suis devenu. Parler de « moi » fait partie du sens de l’autre. Car pour être bien et en empathie avec l’autre, il faut apprendre à s’écouter soi même. Je vais évoquer mon expérience de plus de 30 ans en communication avec le plus d’authenticité possible (il y a forcément un biais cognitif 😊). C’est aussi l’occasion de partager mes valeurs, mes convictions, ma philosophie et la vision de mon métier de communicant. Autant d’éléments qui peuvent faciliter nos échanges et nos interactions professionnelles et personnelles et construire une relation de CONFIANCE dans la durée.
Mon expérience s’est construite dans le temps avec une volonté personnelle de comprendre les différents métiers et les grands enjeux qui composent les mécanismes de la communication et de la chaîne graphique (traditionnelle et numérique / print et web). J’ai donc cherché, pour chacune de mes expériences professionnelles et associatives, une continuité afin de parfaire mon expertise dans les domaines de la communication, du graphisme, de l’imprimerie et du web. Cette volonté d’acquérir une vision d’ensemble du processus de communication m’est apparue fondamentale pour bien maîtriser la polyvalence du métier de communicant et surtout faciliter les relations entre les individus avec assertivité (défendre son point de vue tout en respectant l’autre).
« La marque est au cœur de l’entreprise. Ressource unique, elle est porteuse de valeurs, et de sens auprès des employés et des consommateurs, revêtant ainsi une dimension stratégique. » Cette citation de Géraldine Michel, extrait de son livre « Au cœur de la marque » (4e édition aux éditions Dunod) illustre parfaitement l’importance de la communication d’entreprise pour faire connaître sa marque. C’est également mon point de vue. La marque c’est mon agence Desjeux Créations, de communication et de formation. Cette marque c’est moi seul, dans ces premières années et avec Audrey Jules durant 10 ans. Merci à elle pour son implication. C’est aussi de nombreux partenaires qui orbites autour de l’agence pour renforcer notre expertise dans des domaines spécifiques (imprimeur, traducteur, développeur web, webmarketeur, photographe, routeur, afficheur, illustrateur…).
Cela fait sens de mon point de vue d’aborder mon parcours universitaire, professionnel et associatif pour illustrer la richesse de mes expériences qui fait de moi aujourd’hui ce professionnel de la communication qui revendique haut et fort cette nécessité d’avoir ce sens de l’autre pour communiquer (dans la vie professionnelle et personnelle d’ailleurs). Dans cette article je n’aborderais que la partie prof. Mon expertise en communication d’entreprise c’est construite pas à pas depuis plus de 30 ans. Ce qui m’anime depuis toutes ces années c’est bien ce souhait de créer des passerelles entre les individus. Cette construction c’est faite par étape. En voici le cheminement.
Comprendre qui je suis et d’où je viens éclaire votre regard sur moi, mon agence et mon fonctionnement pour faciliter nos échanges au quotidien. Identifier mes atouts et mes limites (et oui j’en ais 😊) pour connaître mes champs d’expertises et de prédilections, car je ne fais pas « tout » en communication.
Mon dada c’est de comprendre pourquoi chaque entreprise communique ?
Donner du sens à l’action c’est bien cela. Mon ADN c’est cette maïeutique si géniale qui permet d’extraire de nos échanges : qui je suis ? pourquoi je rentre en relation avec l’autre (ma cible) ? pour quel objectif ? comment ? Ce point est central dans mon parcours et vous découvrirez au travers de mes différentes expériences comment j’en suis arrivé à considérer ces questions centrales dans mon quotidien pour construire l’image des entreprises de manière optimale et cohérente. Trouver son alignement et mettre en lumière ce dernier est essentiel pour une organisation (entreprise privée, association, ONG, collectivité).
A travers les expériences ci-dessous, j’ai acquis et consolidé au fil des années une vision de la communication globale. Je ne maîtrise pas toutes les techniques et méthodes de communication, mais j’ai une approche à 360° qui permet de construire une stratégie cohérente et un plan d’action efficace pour donner du « SENS à l’ACTION ».
Je souhaitais devenir journaliste lorsque j’ai postulé au concours d’entrée de l’IUT de Paris V René Descartes – PRES Sorbonne Paris Cité. Le monde de la communication et des médias me fascinait et m’intriguait à la fois. A travers ce parcours universitaire très pluridisciplinaire autour de l’univers de la communication, je me suis forgé une vision « globale de la communication » comme la définissent Robert Tixier-Guichard et Daniel Chaize[1] :
« elle explique tout et guérit tout. Son absence est à l’origine de tous nos maux. […] Toute vie humaine et sociale ne peut qu’entretenir avec elle des rapports tautologiques. […] Elle est dans tout et partout. Elle irrigue nos esprits de messages électroniques bienfaisants et meuble l’intimité des foyers. Elle séduit. Mais elle veut aussi faire aimer, adhérer, convaincre. Elle écoute pour mieux nous faire entendre raison. » Et Hervé Deville de conclure[2] : « La communication est entrée depuis plusieurs années dans l’entreprise, dans les institutions publiques, à tel point que « communication » et « vitalité d’une structure » forment désormais un couple indissociable. »
Ces 2 ans à l’IUT (1993 à 1995) dans la filière Communication d’Entreprise m’ont permis de rencontrer des professionnels du métier (directeurs de communication, chargés de relations presse, responsables de publicité, de marketing, chargés de communication, scénaristes, illustrateurs, imprimeurs) et de mettre en pratique l’enseignement théorique à travers différentes actions :
L’ensemble de ces expériences et de ces rencontres humaines m’a permis de prendre conscience que le journalisme n’était pas pour moi. En revanche, la complexité liée à toute communication, qui est considérée comme un outil indispensable au dialogue entre les personnes, dans et autour de l’entreprise, m’a fortement intéressé. L’ouvrage collectif de Luc Marcenac[3] m’a éclairé sur ce point et guidé vers mon premier poste de chargé de communication. Il y décrit l’entreprise comme un système.
« A ce titre, l’ensemble des éléments qui la composent agissent en interaction et concourent à asseoir sa finalité. Nous percevons très globalement cette finalité comme étant la satisfaction des besoins des consommateurs tout en assurant la pérennité de l’entreprise. Dans ce système général, la stratégie de communication consiste pour l’entreprise à se fixer des objectifs et à obtenir des moyens pour les atteindre. Elle doit pour cela se connaître, apprécier ses forces et ses faiblesses mais aussi être à l’écoute de son environnement ».
Luc Marcenac
J’aspirais alors à découvrir et à mettre en pratique mes connaissances en communication, tout en restant proche du média écrit. L’édition papier, publicitaire, informative ou événementielle, semblait mieux me correspondre. Je sentais à cette période que cela me touchait plus que les autres médias comme la radio, la télévision ou encore le numérique (minitel et internet), embryonnaire à l’époque.
Tout a commencé en 1994, je débute ma carrière en tant qu’assistant de relations presse et de relations publiques au sein du Magazine Casus Belli (magazine de jeux de rôle et de Simulation du groupe Excelsior publication).
Je suis alors étudiant en deuxième année à l’IUT Paris V René Descartes où je prépare le Diplôme Universitaire de Technologie INFORMATION ET COMMUNICATION option Communication d’entreprise et Relations Publiques. J’ai donc réalisé un stage à temps partiel, parallèlement à mes cours à l’IUT, au sein de la rédaction du Magazine Casus Belli (CB). Mon poste consistait en 2 tâches : d’un côté réaliser une enquête sur l’état actuel (1994/1995) des jeux de rôle et de simulation, et d’un autre côté, en la gestion des relations publiques avec les clubs français de jeux de rôle et avec la Fédération Française des Jeux de Rôle et de Simulation.
Pour réaliser l’enquête sur l’état actuel des jeux de rôle et de simulation, j’ai rédigé un questionnaire en étroite synergie avec Didier Giserix (Rédacteur en chef du magazine). MERCI à lui pour sa confiance. J’ai ensuite enquêté sur le terrain auprès des joueurs de ces jeux de simulation, avec 2 autres membres de l’équipe du magazine. Nous avons ensuite analysé les résultats de l’enquête (via le logiciel Modalisa), ce qui nous a permis de dresser une typologie du joueur et d’évaluer les interactions entre les différents types de jeu de simulation. Nos résultats ont été publiés dans un numéro de Casus Belli et diffusés auprès des clubs de jeu de rôle et de simulation sur toute la France.
C’est là que j’ai commencé mon second travail de relations publiques avec les clubs de jeu de rôle et de simulation. La première étape consistait à créer un annuaire des clubs existants, avant de rédiger un communiqué d’informations adressé aux clubs. Il s’agissait de leur expliquer le souhait du magazine CB de relayer leur actualité dans les pages du journal, ainsi que toute information qu’ils jugeraient utile de transmettre. L’objectif de mon poste était double. D’une part, regrouper les idées pour donner des pistes de sujets à la rédaction du magazine CB, et d’autre part, aider la Fédération à agir sur le terrain et auprès des médias pour que ce loisir soit mieux reconnu. A l’époque, différentes affaires criminelles dans lesquelles étaient impliqués des rôlistes avaient en effet défrayé la chronique, il était donc important de redorer l’image de ce loisir. A noter enfin que Casus Belli était le « canard boiteux » du groupe Excelsior publication (Biba, 20 ans, Auto-Moto…) et que les thèmes qui y étaient traités n’intéressaient pas les dirigeants du groupe, c’était donc aussi un moyen en interne de valoriser le titre.
J’ai mis en place un échange régulier d’informations auprès des clubs à travers la rédaction de communiqués d’information sur l’avancée des pistes de réflexion. J’ai également rédigé la synthèse de l’enquête sur la typologie des joueurs. Et enfin, j’ai instauré des échanges réguliers au téléphone avec les présidents des clubs afin de les impliquer dans le processus de réflexion, et de les inciter à nous remonter l’information pour mieux agir et communiquer au niveau national.
Par la suite, j’ai élargi mes compétences en travaillant comme assistant de communication au journal quotidien Le Parisien / Aujourd’hui en France (groupe Amaury), où j’ai réalisé un stage puis un CDD (1995 /1996) à ce poste.
En tant que stagiaire au service de la communication du Journal dirigé par Myriam Multigner, je réalise une veille quotidienne de l’information à travers une revue de presse (PQN / PQR / presse magazine) et un suivi des citations des articles du journal sur les radios et télévision via le service de la société « La Voix des Médias ». Je prépare un reporting hebdomadaire qui est diffusé à la direction générale et au service marketing en interne. Je suis également en charge des partenariats avec les radios et télévisions pour suivre quotidiennement les actions mises en place par le service communication avec l’objectif d’accroître la notoriété du titre. Mon travail consistait à faire la liaison entre les rédactions de notre journal et celles des radios et télévisions concernés (RTL, Europe1, TF1, France 3 et France Inter) pour annoncer notre Une sur leurs ondes, et leurs informations clefs dans nos colonnes.
Lorsque mon stage s’est transformé en CDD, j’ai cumulé d’autres activités aux missions citées ci-dessus. Premièrement, la rédaction de dossiers de presse et de communiqués de presse sur les informations exclusives du Parisien (sondage sur les élections présidentielle en cours, infos exclusives sur l’actualité, chiffre clés du Parisien/aujourd’hui en France).
Deuxièmement, la réalisation du Journal Interne du groupe Amaury : « Pariscoop ». Mes responsabilités étaient variées : choix des sujets traités et du reportage photo, rédaction des articles auprès des équipes internes du groupe, relecture et ajustements graphiques en étroite synergie avec le service PAO de l’agence de communication à qui nous sous-traitions la maquette et l’impression, et diffusion auprès des salariés.
J’ai également réalisé le trombinoscope interne de l’ensemble du groupe Amaury en collectant les informations auprès de chaque service (interview & photo), en réalisant le brief auprès de l’agence de communication pour la mise en page du document, et en le diffusant en interne. Enfin, j’ai participé à l’ajustement de la charte graphique des logos « Le Parisien/Aujourd’hui en France », tout d’abord en faisant le recensement de l’ensemble des supports utilisant les logos. Ensuite, en étroite synergie avec le service marketing, nous avons défini la nouvelle charte graphique et un cahier des charges pour que l’agence de communication puisse faire de nouvelles propositions graphiques.
J’ai aussi participé activement à l’organisation de deux événements du Parisien en collaboration avec la responsable du Service communication et son assistante.
D’une part, la création d’un tournoi interne de foot pour le personnel du groupe Amaury (800 personnes réparties sur 2 sites principaux, St Ouen et Issy les Moulineaux). J’étais en charge du choix des prestataires (sportifs, traiteurs, location de matériel…), d’annoncer l’événement dans le journal interne à travers la rédaction d’articles et d’une interview du manager du groupe, et de la coordination de l’ensemble de ces éléments le jour J.
D’autre part, le service communication a mis en place une « soirée spéciale débat entre les 2 tours » de l’élection présidentielle de 1995. Nous avons organisé des rencontres entre un panel de lecteurs du Parisien et les cinq candidats politiques (M. Le Pen, M. Chirac, M. Jospin, M. Hue, et M. Balladur). J’ai là aussi participé activement aux choix des fournisseurs (traiteur, animateurs, location de matériel…), et à la gestion des plannings et du déroulement de l’événement le jour J. Ces tables rondes ont eu lieu dans les locaux du Parisien à St Ouen.
Pour ces deux projets, j’ai également rédigé les communiqués de presse et les annonces auprès de nos partenaires et des médias (Radio et TV).
« J’ai consolidé tout au long de ce stage / CDD mes connaissances sur le fonctionnement d’un journal quotidien au sein d’un groupe (rédaction / régie publicitaire / impression / réseau de distribution). J’ai également affiné mon expertise dans les domaines des techniques rédactionnelles (interne et externe), de la communication événementielle (interne et externe), des liaisons avec la DRH, la communication et le marketing, de la communication institutionnelle/notoriété, de la liaison avec les agences de publicité, des relations presse/publiques, de l’initiation à l’analyse stratégique globale et des recommandations stratégiques, de l’usage quotidien de l’outil informatique ».
Alexis Desjeux
J’effectue mon service militaire au sein du SIRPA mer (Service de Communication de la Marine Nationale). Parallèlement à ce service militaire à mi-temps, je travaille en CDD pour l’agence Ogilvy & Defrenois et sa filiale Design Direct, comme graphiste junior. Je mets toute mon énergie à diversifier mon expertise dans les métiers de la communication, et cette opportunité de pouvoir travailler en parallèle à mon service militaire est pour moi une formidable occasion d’enrichir mon bagage professionnel (1996 / 1997).
Sous les ordres du commandant de marine, j’assiste la responsable des relations presse. Je réalise quotidiennement une revue de presse (PQN/PQR/presse magazine), et je transmets cette synthèse à l’ensemble de l’état major très tôt le matin pour que chacun de mes supérieurs puisse en prendre connaissance en tout début de journée. Je transmets également ces informations aux navires en mer (via une connexion informatique).
Durant ce service, nous avons été confrontés à une crise, un sous-marin nucléaire français ayant percuté un ponton dans le port de Lorient lors d’une sortie en mer. Pour informer les médias et le grand public des suites de cette affaire, j’ai participé à la rédaction des communiqués de presse (en étroite synergie avec ma responsable) et à l’organisation d’une conférence de presse dans les locaux du SIRPA mer (rue Royale à Paris). J’ai également envoyé le communiqué de presse et accueilli les médias le jour J, sous la direction du commandant en chef.
Tout au long de ce service militaire, j’ai renforcé mes techniques rédactionnelles et de gestion de communication de crise, tout en faisant un usage quotidien de l’outil informatique.
Parallèlement à ce service militaire à mi-temps je travaille en CDD pour l’agence Ogilvy & Defrenois et sa filiale Design Direct. En tant que graphiste junior chez Ogilvy & Defrenois, j’ai consolidé mes compétences en design graphique. Ogilvy & Defrenois est une société multinationale de marketing direct.
Au sein de cette structure, j’intègre l’équipe de production EMEA qui gère l’ensemble du marketing du groupe IBM en France et à l’international. Je suis moi-même assistant en Publication Assistée par Ordinateur (PAO), sous la responsabilité d’un directeur technique et artistique. Je suis chargé de la gestion des fichiers informatiques, de leur préparation au flashage (pré-presse) et de leur envoi à toutes les filiales européennes pour une impression locale des publicités, le tout en garantissant une conformité totale avec la charte graphique d’IBM.
Concrètement, je récupère des fichiers créés par notre service de création graphique au sein d’Ogilvy & Defrenois (textes dans différentes langues -Français, Anglais, Allemand et Espagnol- et les images associées). Je valide leur compatibilité avec les contraintes de fabrication de l’imprimeur, comme par exemple la colorimétrie, le format, les informations techniques liées aux finitions spécifiques : découpe, vernis sélectif, pelliculage… Je retouche les images sous Photoshop et/ou Illustrator, et je les intègre sous QuarkXpress pour créer des gabarits que je transmets ensuite à nos filiales européennes via nos serveurs informatiques. Chacune de ces filiales à la charge d’imprimer localement le document. Parfois nous réalisons une impression globale et nous redistribuons les documents par transporteur. Mon responsable de cellule valide l’ensemble de ma production, me conseille et me guide dans ces étapes de validation.
Ce CDD m’a apporté une expertise complémentaire dans mes techniques de PAO, la maîtrise des logiciels graphiques, la communication produit, les réseaux, la communication interne pour la diffusion de l’information.
J’intègre cette agence en tant que concepteur graphiste pour épauler le gérant qui est seul, et qui faisait jusqu’alors appel à un service externe pour la création des outils de communication de ses clients. En m’embauchant dans son entreprise il décide donc d’internaliser la création graphique (1997 / 2000).
Parallèlement, je deviens consultant en formation pour l’IUT Paris V René Descartes – PRES Sorbonne Paris Cité, auprès des 1ère et 2e années pour la filière INFORMATION ET COMMUNICATION option Communication d’entreprise et Relations Publiques, en 1998. Je reviendrais en détail ci-dessous sur mon expertise en formation.
Pendant les 6 premiers mois, je participe uniquement à la création graphique des outils de communication des clients de l’entreprise. Recherche et mise en valeur iconographique (dessin, photo, graphique), des textes, de la typographie, de la colorimétrie, des formes, des effets spéciaux etc. pour concevoir des documents de communication interne et externe (avec les logiciels de PAO Illustrator, Photoshop et QuarkXpress). Notre client le plus important est à l’époque le Crédit Lyonnais. Je réalise pour lui de nombreux documents publicitaires, de marketing, et de communication interne, tels que : chemise à rabat, fiche technique des prestations, dépliant descriptif d’un challenge interne, journal interne, papeterie… J’effectue également le suivi de fabrication auprès des fournisseurs (flasheur, imprimeur, façonnier, routeur), sous la responsabilité du gérant qui m’apprend les mécanismes et les rouages de ses sous-traitants pour que je puisse le faire ensuite de manière autonome.
Après cette période, le gérant m’intègre pas-à-pas dans le processus global du dossier. J’assiste aux réunions de concertation avec le client auprès duquel j’ai un rôle de conseil. Je lui fais des propositions sur les outils à mettre en œuvre, leur format, leur colorimétrie, leur contenu texte et image, et sur le support de diffusion (publicité dans la presse écrite, affichage extérieur, mailing publicitaire envoyé par routeur…). Je gère également la relation avec les fournisseurs en direct et de manière autonome. Je rédige les cahiers des charges pour les fabricants et les recommandations stratégiques de nos clients en étroite synergie avec ces derniers (Crédit Lyonnais, AFI Europe, AVIP, Othua etc.), à travers l’étude de la concurrence, le positionnement de la marque et des produits du client, la rédaction des argumentaires commerciaux et l’analyse des moyens à mettre en œuvre. Je gère également les devis (dans un premier temps en étant formé par le gérant, puis de manière autonome) et le planning de réalisation des différents outils de communication de nos clients.
Après ma démission de la société Artmédias Prestige pour rejoindre mon épouse sur Angers, je rejoins l’équipe de l’Imprimerie Presto’graph (Angers), pôle de production du groupe de communication Devorsine et Galilée (D&G). J’intègre cette imprimerie en tant que graphiste confirmé, pour remplacer une personne démissionnaire (2000 / 2003). Mes fonctions de création graphique et de gestion du flashage évoluent très vite. En effet, 3 mois après mon entrée dans l’entreprise, le groupe de Communication Devorsine et Galilée rachète l’entreprise et licencie la responsable de l’atelier. On me demande alors de continuer à gérer le studio de PAO (Publication Assistée par Ordinateur), et de prendre le poste de responsable de fabrication dans l’atelier, fonction que j’accepte.
Je réalise donc la conception graphique des outils de communication des clients (catalogue produit, chemise à rabat, livret marketing et fiche produit etc.). Je réalise le travail du début à la fin, depuis la demande du client (brief et rédaction du cahier des charges) à la relation avec le commercial, en passant par les recherches et retouches d’images, l’insertion texte et la préparation des fichiers pour le flashage. Je préconise également auprès des clients les supports de communication les mieux adaptés à leurs besoins (essentiellement en hors média) : dépliant, tract, brochure…
J’organise également l’ensemble des plannings de fabrication (chaîne graphique) : planning PAO de création graphique (date de Bon A Graver, de Bon A Tirer et de Bon A Rouler), les plannings d’impression (travail en 2/8 sur 2 machines : offset Heidelberg 2 couleurs en retiration format 45×64 cm et GTO 1 couleur), le planning du façonnage (assembleuse 8 postes, piqueuse/agrafeuse, plieuse, massicot), ainsi que la gestion des commandes et des stocks (papier, consommable, outillage…). Le tout est réalisé en étroite synergie avec mon directeur de site et avec le directeur général du groupe qui vient régulièrement sur Angers (le siège est à Nantes) pour superviser les travaux.
Je manage cinq personnes au quotidien pour faire fonctionner la société (1 opératrice PAO, 2 imprimeurs offset, 1 façonnier, 1 secrétaire) en liaison directe avec le directeur du site et le responsable commercial. J’instaure des réunions de travail biquotidiennes, l’une le matin pour lancer la journée et l’autre le soir pour préparer le lendemain et les jours suivants. L’objectif est bien sûr d’essayer d’anticiper au mieux la charge de travail en amont (PAO) et en aval (impression et façonnage et livraison). Parallèlement à ces réunions de travail, je crée avec notre studio de création à Nantes le « journal Interne Whaou’top » dont j’assure une partie du rédactionnel, des prises de vue photo, de la relecture et de la conception avec le studio de Nantes. Je remonte les infos de notre site de production au siège de Nantes, et je coordonne sa fabrication et sa distribution auprès de l’ensemble des collaborateurs. Ce journal est également distribué à nos clients pour les informer de nos nouveaux marchés, et de l’évolution de notre structure (embauche de personnel, achat ou réparation du parc machine…).
Je participe également avec mon directeur de site à la réflexion stratégique de communication de notre imprimerie du groupe D&G (audite d’image SWOT, étude de la concurrence, veille technologique sur les outils de communication et leur évolution, préconisation des moyens à mettre en œuvre pour dynamiser la notoriété de l’imprimerie au niveau local, veille de l’avancée technologique des appareils d’imprimerie…).
Et enfin, je m’occupe de la gestion des fournisseurs, des sous-traitants, et du transport des marchandises. Je réalise le cahier des charges qui décrit chaque projet, je planifie et je contrôle la fabrication.
Je mets en place un « flux de production » sécurisé de l’ensemble de la chaîne graphique, du BAT client au flashage (en CTP, Computer to Plate), en passant par le contrôle qualité durant la fabrication, l’impression, le façonnage et la livraison. Je valorise l’expertise de chacun en créant une charte interne du « qui fait quoi ? », c’est-à-dire la qualification des forces et faiblesses des uns et des autres pour répartir au mieux la charge de travail et les responsabilités. Cela permet d’optimiser la production et de valoriser chaque individu pour une meilleure ambiance globale dans l’entreprise. Cette qualité de travail et ce contrôle à chaque étape permettent de faire des gains de productivité, et de mieux respecter les délais de livraison client. De plus, j’instaure des bons de commande et des dossiers de travail qui permettent une meilleure gestion des commandes, et un meilleur suivi de notre sous-traitance avec les fournisseurs et les partenaires (papetier, finition spécifique vernis sélectif, dorure à chaud, dos carré collé…) ainsi qu’avec les transporteurs.
Le journal « Whaoutop » nous permet de valoriser notre image et la qualité de nos prestations auprès des clients, et en interne auprès du personnel.
La difficulté a été de faire cohabiter jeunes et anciens dans l’entreprise. La grande disparité de l’ancienneté des personnes dans l’entreprise (de 10 ans d’ancienneté à quelques mois) et les différences d’âge ont généré des tensions internes qu’il a fallu surmonter en valorisant l’expérience des « anciens » et la dynamique positive « des plus jeunes ». Le soutien de la direction générale et du directeur de site m’a aidé à faire face à cette gestion du personnel. L’humain un atout pou préparer l’avenir de l’entreprise.
L’imprimerie Presto’graph (Angers) est mise en liquidation judiciaire, et je me retrouve au chômage. Après un bilan de compétences, je réalise une formation financée par l’ANPE au sein de l’imprimerie Atlantique Graphique (2004 / 2005). Parallèlement à cette formation, je deviens chargé de cours en 3e année de l’ISCEA de l’UCO à Angers (détails ci-dessous).
A travers cette formation, je rejoins l’équipe de deviseurs / fabricants de cette imprimerie angevine. Mon objectif est de mieux maîtriser les coûts de fabrication, d’apprendre à deviser les outils de communication imprimés par l’entreprise à travers l’usage du logiciel Graphisoft, et de mieux comprendre les contraintes et les délais d’une imprimerie plus importante que Presto’graph (35 salariés, 2 machines offset 4 couleurs, façonnage intégré à l’imprimerie, plieuse & encarteuse 10 postes). J’intègre une équipe de 2 deviseurs / fabricants directement rattachée au responsable de fabrication et au directeur général de l’entreprise. Merci à Gaelle De lahaye pour sa confiance et son soutien durant cette période. Ma seconde fonction consistait à référencer des sous-traitants pour des impressions non réalisées en interne (création d’un annuaire thématique) et à gérer les plannings de fabrication de notre filiale à Segré (une imprimerie équipée d’une GTO 1 couleur).
Au quotidien, j’apprends donc à évaluer les coûts, à travers le calcul des temps machines, le calage machine, le coût de la matière première, du papier, de l’encre, des effets spéciaux en sous-traitance (pelliculage, vernis sélectif…), mais aussi le coût de la main d’œuvre et du transport. Je suis en relation directe avec les commerciaux (2 personnes) qui apportent les demandes de devis, et parfois avec le client qui souhaite négocier son tarif. Je gère également toutes les expéditions, le conditionnement des documents et le suivi avec les transporteurs (bon de commande, bon de livraison, accusé de réception de la livraison). Il m’est même arrivé de prendre un véhicule utilitaire pour aller livrer en urgence un sous-traitant à Tours ou d’affréter un transport international pour une livraison au Canada.
Parallèlement, je fais moi-même des demandes à des sous-traitants pour des impressions sur T-shirt, de l’enseigne, du marquage véhicule, des affiches très grands formats en sérigraphie, des autocollants en vitrophanie[4], des stands pour des salons et des expositions, des kakemonos[5] pour de l’événementiel, de la dorure à chaud sur des cartes à jouer… A travers de tous ces projets, je rencontre les sous-traitants, je gère les bons de commandes et les plannings, j’apprends les spécificités des différentes machines qui permettent de réaliser tous ces produits et les contraintes techniques qui y sont liés (capacité de production, format, colorimétrie…). Je gagne en expertise dans la négociation des tarifs, en étroite synergie avec le responsable commerciale d’Atlantique Graphic qui supervise mon travail vis-à-vis de ces sous-traitants.
Enfin, je gère les plannings de la filiale de Segré, une imprimerie équipé d’une GTO 1 couleur, où il y a 2 personnes qui sont polyvalentes (PAO, impression, finition). Je fais la liaison avec notre studio de PAO qui réalise le flashage pour cette imprimerie, et la gestion des plannings de fabrication pour bien respecter les délais de livraison, le contrôle des documents avant impression et le suivi des expéditions.
Depuis 2006, je crée mon agence Desjeux Créations de conseil en communication et formation (aux alleuds – Brissac Loire Aubance).
Cette création s’est faite après une nouvelle période de stage et de formation dans l’imprimerie numérique Reprosystème où la direction accepte, après ma période de formation et de CDD, de me « transmettre » une partie de sa clientèle pour que je puisse démarrer mon activité de graphiste indépendant et de conseil en communication. Je réalisais donc, pour les clients de Reprosystème, de la création graphique facturée en direct, mais imprimée chez Reprosystème. La création de mon entreprise m’a amené à gérer une multitude de tâches qui, je m’en rends compte aujourd’hui, forment comme une synthèse de mes expériences passés, et auxquelles s’ajoutent beaucoup de nouveautés !
Parallèlement à cette activité, j’intègre en tant que consultant en formation, l’IAE de Rouen en Master 1 Marketing et publicité. Je continue mes formations à l’IUT de Paris V René Descartes – PRES Sorbonne Paris Cité, aux étudiants en première année de formation info-com, ainsi que mon enseignement à l’ISCEA en 3e année de licence et en Master 1 communication. Je deviens, en mai 2008, correspondant du Courrier de l’Ouest pour les Alleuds. Mes fonctions consistent à rédiger des articles et à réaliser des reportages photos sur les événements de la commune. je reviendrais sur ces expériences ci-dessous.
En tant que gérant, je suis polyvalent. Je réalise, d’une part, toutes les tâches internes à mon activité et pour le bon développement de celle-ci comme : la prospection commerciale et le suivi des clients/prospects, la conception de l’ensemble des outils lié à la communication externe de mon entreprise (site web, plaquette, annonce presse…), et les relations presse avec les médias pour augmenter la notoriété de l’entreprise. J’intègre également plusieurs réseaux de créateurs et repreneurs d’entreprise sur Angers pour créer des contacts professionnels (j’ai été vice-président de l’association ACREA et membre du réseau Oxygène de la boutique de gestion, et président du CELLA club – lire mon engagement associatif – ces différentes associations permettent à des chefs d’entreprises de partager des idées et d’échanger sur leur métier à travers des réunions, des débats, des visites d’entreprises…).
D’autre part, je gère toutes les activités liées à mon métier :
Pour maintenir une bonne connaissance dans ces domaines, je suis régulièrement des formations sur toutes ces fonctions : comptabilité, gestion, commercial, mise à jour sur l’évolution des logiciels de PAO, intégration de l’intelligence artificielle IA dans les processus de communication… Je fais également appel à mon réseau de connaissances angevins et au delà pour répondre à des besoins spécifiques complémentaires à mon expertise (comme la création de vidéo avec Terre de Pixel et Benoit Lesaffre…)
J’ai intégré bénévolement différentes associations pour mettre au service de ces dernières mon expertise en communication. Ces différentes expériences associatives ont consolidé mon expertise en communication dans de nombreux domaines de la communication (PAO, relation presse, événementiel..).
J’ai débuté à l’ACREA de créateurs et de repreneurs d’entreprises de l’Anjou de 2007 à 2017, et j’en suis devenu vice-président de 2009 à 2017. Date ou l’ACREA est devenu le CEA. Merci à Eric Groud et toute l’équipe de ce chouette réseau dont l’intelligence collective m’a fait grandir en tant que dirigeant.
Je participe activement à la vie du club à travers différentes actions comme la réflexion sur les thématiques de chacune de nos soirées-débat ou le choix des restaurants / traiteurs (négociation des tarifs et choix des menus). J’interviens également en tant que conseiller dans des événements dont l’ACREA est partenaire : j’ai suivi des élèves pour les Entrepreneuriales, entreprendre au Lycée, et j’interviens chaque année au forum de la Création et de la reprise d’entreprise à la CCI et comme jury dans le challenge de l’économie Locale organisé par la CCI. Enfin, je suis dans le comité de pilotage qui organise cette année le 30e anniversaire de notre association, et dans la cellule communication du club pour dynamiser notre image.
Je mets mon expertise de PAO au service de notre association en réalisant, en étroite synergie avec tous les autres membres du bureau, les outils de communication du club (plaquette, invitation, affiche, dépliant, brochure de demande de subvention / sponsor / partenaire…) J’administre le site web pour le mettre à jour régulièrement (site développé par le président du club sous Joomla, un outil de gestion de contenu de site – CMS). Je réalise également la recherche de sponsors pour financer le 30e anniversaire et la vie du club.
J’ai également rejoint le réseau Oxygène de la BGE (boutique de gestion) qui se nome aujourd’hui BGE club (2006 à aujourd’hui). Merci à Christina Desnos et toute l’équipe de ce chouette réseau dont l’intelligence collective m’a fait grandir en tant que dirigeant.
Je participe activement à la vie du club à travers différentes actions : la formation de futurs chefs d’entreprises à la communication. J’explique aux futurs créateurs / repreneurs les mécanismes de communication pour les sensibiliser aux différents outils qui existent afin de faire connaître leur entreprise et la manière dont ils peuvent accroître leur notoriété et leur visibilité commerciale.
Je suis également dans le comité de pilotage qui organise le salon Oxygène « Journées des entrepreneurs » qui se déroule chaque année. Je suis force de proposition sur les thèmes des conférences, le choix des intervenants, les outils de communication pour parler de l’événement, et les modalités de fonctionnement au quotidien, tout cela en étroite synergie avec les autres membres du club et notre président.
J’ai intégré bénévolement l’association du comité des fêtes des Alleuds. Au travers de cette association, je participe à la vie locale et aux animations de ma commune. Nous avons, entre autres, mis en place le Festival du jeu Ludo’délire, dont je suis le coordinateur et le maître d’œuvre.
Je participe activement à la création du Festival Ludo’délire de jeu aux Alleuds. (2008 à 2018) J’anime le groupe de pilotage (10 personnes) avec lesquelles je réfléchis aux thèmes du festival, aux jeux, à l’organisation ludique et pratique. Je coordonne et réalise toute la communication autour du festival (création du site internet, des flyers, affiches, T-shirt, banderole, logo…) qui permettent de communiquer autour de cet événement. Je coordonne également la recherche de sponsors (réalisation d’un dossier de demande de mécénat/sponsor) et la logistique (location de matériel, des jeux, de l’alimentation, des prestataires techniques…) ainsi que la recherche des bénévoles pour animer les stands. Enfin, je m’occupe de toutes les relations presses et du référencement naturel du site sur le web pour dynamiser la communication autour de cette manifestation. Chaque édition de ce festival a été reprise par beaucoup de radios locales (radio G, Alouette, radio Campus, NRJ, chérie FM, radio haute Angevine) et par la presse écrite et sur internet (le Courrier de l’Ouest, Ouest France, le journal de la communauté de commune Loire Aubance, aubance web mag etc.).
Tout ce travail se fait en étroite synergie avec l’ensemble des membres de la commission. Chacun s’implique à la hauteur de son temps et de ses compétences, à moi de dynamiser l’équipe, d’exploiter les expertises de chacun, et de coordonner les actions pour que cet événement se déroule au mieux.
J’ai fondé l’association en étroite synergie avec des entrepreneurs du territoire de Brissac Loire aubance en 2014. J’ai été président pendant quelques années et jes suis aujourd’hui bénévole en charge de la communication du club.
L’animation des équipes (réunion de bureau, soirée plénière, événement de prestige…). Les relations publiques avec nos partenaires (CCI, CCLLA, SMITOM, municipalités…) Et la valorisation de la maque auprès des futurs adhérents (refonte du site internet, animation des réseaux sociaux, création des outils de communication – roll’up, bâche, affiche, flyer, badge…) Gestion des relations presse.
Le cheminement le plus chouette faut le travail avec les adhérents et le bureau sur la définition de notre ADN, de notre plateforme de maque, de notre positionnement et de tous les éléments qui démarquent notre club des autres acteurs de la région. Lire pourquoi rejoindre le CELLA ?
J’adore également organiser et coordonner l’interclub de l’anjou #interclubanjou depuis de nombreuses années.
MERCI à frédéric collet, Maryline Hamon, et tous les membres du bureau pour la belle synergie collective depuis toutes ces années ! On fête les 10 ans en 2024.
Depuis la création de mon entreprise j’ai donné de mon temps et participé à d’autres réseaux comme : Produit en Anjou, le réseau entreprendre, le CCA…. chacun à son image a sue me faire grandir dans mon expertise dans les relations humaines et en communication.
En résumé, je suis un professionnel polyvalent et expert dans les domaines de la communication d’entreprise et de la marque. Mon parcours diversifié et ma longue expérience font de moi un atout précieux pour toute entreprise souhaitant renforcer son image et sa visibilité sur le marché. Faites appel à mon expertise pour booster votre stratégie de communication et valoriser votre marque.
[1] Les Dircoms, Robert Tixier-Guichard et Daniel Chaize, Seuil, 1993, 592 p.
[2] Hervé Deville, directeur général du Top-Com, « Réflexion, évidences et… impulsion », éditorial de Top-Com News, 1, septembre 1992.
[3] Stratégies publicitaires, Luc Marcenac, Alain Milon, Serge-Henri Saint-Michel, 3e édition, Bréal, 1994, 492 p.
[4] La vitrophanie : la vitrophanie consiste à imprimer un sticker à l’envers pour qu’il soit lisible à l’endroit de l’autre coté d’une vitre – on peut imprimer sur fond blanc ou sur fond transparent.
[5] Kakemono : terme signifiant « ce que l’on suspend » en japonais – c’est un support de l’affichage qui consiste en une bande plus ou moins large (0.8×1.2 m) en papier, en toile ou en plastique, que l’on déroule et suspend par son extrémité supérieure.